CSSS de la région de Thetford

Historique de l’établissement

1910Fondation de l’Œuvre hospitalière
1929Construction de l’Hôpital Saint-Joseph
1971Déplacement des activités hospitalières dans un nouvel édifice, l’Hôpital général de la région de l’Amiante
1988Changement de nom pour Centre hospitalier de la région de l’Amiante
1995Regroupement des cinq centres d’accueil du territoire, soit le Foyer Sacré-Cœur-de-Jésus d’East Broughton, la Résidence Denis-Marcotte de Thetford Mines, le Foyer Lac-Noir de Black Lake, la Villa Lavoie de Disraeli et le Foyer Valin d’Adstock
2004Fusion du Centre hospitalier de la région de l’Amiante, du CLSC Frontenac et des CHSLD de l’Amiante, soit le Pavillon Saint-Joseph de Thetford, le Centre d’hébergement Valin d’Adstock, le Centre d’hébergement René-Lavoie de Disraeli, le Centre d’hébergement Lac-Noir de Black Lake, le Centre d’hébergement Marc-André-Jacques d’East Broughton et le Centre d’hébergement Denis-Marcotte de Thetford Mines, pour former le CSSS de la région de Thetford
2008Déplacement des activités du Pavillon Saint-Joseph dans un nouvel édifice, le Centre d’hébergement Saint-Alexandre

Fondateurs

  • Les Sœurs de la Charité du Québec

Profil de l'établissement au 31 mars 2009

  • Catégorie : CSSS (hôpital, CLSC, CHSLD)
  • Nombre de sites : 12
  • Présence d’un centre de recherche : Oui (participation à des études multicentriques de phase III et aussi de phase II)
  • Dépenses 2008-2009 : 90 000 000 $
  • Nombre d’employés : 1380
  • Nombre de médecins : 24 spécialistes et 32 omnipraticiens
  • Nombre de lits de courte durée : 96
  • Nombre de berceaux à la pouponnière : 8
  • Nombre de lits de longue durée : 330
  • Nombre de civières à l’urgence : 10
  • Nombre d’admissions de courte durée en 2008-2009 : 4711, incluant 539 nouveau-nés
  • Nombre d’admissions de longue durée et de réadaptation en 2008-2009 : 224

Site Web

L'établissement en images

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Le premier hôpital de Thetford Mines, fondé le 4 juillet 1910.
Source : Société des archives historiques de la région de l'Amiante - Fonds Galerie de nos ancêtres de l'or blanc (Donateur : Marcel Paquet)
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L'Hôpital Saint-Joseph de Thetford, construit en 1929.
Source : Société des archives historiques de la région de l'Amiante - Fonds Galerie de nos ancêtres de l'or blanc (Donateur : H. Hébert)
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L'Hôpital de Thetford, construit en 1971.
Source : Archives de la bibliothèque du CSSS de la région de Thetford
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Une des religieuses responsables de la pharmacie avant l'arrivée des pharmaciens, vers le milieu des années 1960.
Source : École des gardes-malades auxiliaires de l'Hôpital Saint-Joseph de Thetford Mines - Finissants 1964-1965
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Le premier pharmacien de l'Hôpital Saint-Joseph de Thetford Mines, M. Pierre Dussault.
Source : École de pharmacie de l'Université Laval - Finissants 1958
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Une partie de l'équipe du Département de pharmacie en 1997. De gauche à droite : Nancy Beaudoin, pharmacienne; Johanne Pomerleau, assistante technique; Aline Lessard, assistante technique; Suzanne Nadeau, assistante technique; Gilles Lessard, pharmacien; Francine Fecteau, magasinière et Sylvie Croteau, pharmacienne.
Source : Archives de la bibliothèque du CSSS de la région de Thetford

Profil du Département de pharmacie au 31 mars 2009

Ressources humaines

  • Pharmaciens : 8 ETP
  • Assistants techniques seniors en pharmacie : 7,8 ETP
  • Autres titres d’emplois : 1 ETP

Heures d’ouverture par semaine

  • 66 pour la pharmacie principale et 40 en oncologie

Points de services

  • Pharmacie principale
  • Satellite en oncologie

Secteurs cliniques avec présence décentralisée des pharmaciens sur les unités de soins

  • Médecine
  • Urgence
  • Gériatrie
  • Soins palliatifs

Secteurs cliniques avec présence décentralisée des pharmaciens dans les cliniques externes

  • Oncologie
  • Diabète
  • Ostéoporose
  • Gériatrie

Historique des chefs du Département de pharmacie

1929 à 1968Sœurs de la Charité
1968 à 1971Pierre Dussault
1971 à 1979Georges Nadon
1979 à 1997Gilles Lessard
1997 à 1998Pauline Ruel
1998 à 2006France Pomerleau
2006 à aujourd'hui
(au 01-01-2011)
Micheline Vigneault

 

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M. Gilles Lessard, chef du Département de pharmacie de 1979 à 1997.
Source : Archives de la bibliothèque du CSSS de la région de Thetford, chefs de service, 10 juillet 2009
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Mme France Pomerleau, chef du Département de pharmacie de 1998 à 2006.
Source : Archives de la bibliothèque du CSSS de la région de Thetford, chefs de service, 10 juillet 2009
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Mme Micheline Vigneault, chef du Département de pharmacie depuis 2006.
Source : Archives de la bibliothèque du CSSS de la région de Thetford, chefs de service, 10 juillet 2009

Petite histoire de la pharmacie hospitalière

Dans la région de Thetford, comme dans plusieurs autres régions du Québec, les pharmaciens ont fait leur entrée discrètement dans les hôpitaux. Au départ, ils ont timidement réussi à faire valoir leur expertise puis, graduellement, ils se sont fait accepter dans les hôpitaux de la province. Les pharmaciens ont su, grâce à leurs connaissances, leur professionnalisme, leur rigueur, leur détermination et leur persévérance, se tailler une place de choix à l’intérieur du système de la santé. Des obstacles, ils en ont surmontés; de la résistance, ils en ont rencontrée, et ce, au même titre que bien des antibiotiques! Déterminés, ils ont toujours su trouver les outils pour continuer à avancer et à atteindre leurs objectifs. Les pharmaciens d’établissements sont fiers de ce qu’ils sont devenus. La reconnaissance de leur professionnalisme et de leur importance au sein de l’équipe de soins de santé n’est pas discutable. Ils se battent aujourd’hui pour obtenir un autre type de reconnaissance et l’atteinte de cette dernière devient conditionnelle à la survie de cette grande dynastie qu’est celle des pharmaciens d’établissements.

Voici l'histoire des pharmaciens d'établissements dans la belle région de la MRC des Appalaches :

Première présence d'un pharmacien au sein de l'Hôpital Saint-Joseph de Thetford

Avant l’arrivée en 1968 du premier pharmacien laïque et licencié de l'Hôpital Saint-Joseph de Thetford, M. Pierre Dussault, les Sœurs de la Charité sont en charge de la préparation et de la distribution des médicaments à l’intérieur de l’établissement. M. Dussault, qui est déjà propriétaire à ce moment d’une pharmacie à Thetford, offre tout de même ses services à la pharmacie de l’hôpital à raison de deux heures par semaine. Son travail consiste surtout à vérifier la médication préparée par les commis à partir des ordonnances des médecins. Toutefois, M. Dussault, professionnel dans l’âme, se fait un devoir de transmettre ses connaissances au personnel de la pharmacie et au personnel infirmier afin d'accroître les compétences de ces derniers dans l’exécution de leurs tâches.

Étant donné que la préparation des étiquettes se fait manuellement, les aspirants au poste de commis doivent pouvoir taper 54 mots/minute au dactylo. Parmi les autres conditions d’embauche figurent la bonne connaissance du français et la réussite de l’examen de chimie de 5e secondaire. À cette époque, la pharmacie est ouverte de 8 h 45 à 16 h 45 et le salaire du commis est de 52 $ par semaine.

Une religieuse est responsable de la pharmacie jusqu’à la fin des années 1960, même si elle ne possède aucun diplôme en pharmacie. Son attitude au travail alliait à merveille, semble-t-il, rigueur et intransigeance. C’est elle qui assure la préparation des commandes de médicaments, sauf celles de narcotiques, dont la responsabilité incombe à un pharmacien.

Les solutés sont entreposés, à l'époque, dans des bouteilles de verre. Le Penbritin et la Déclomycin sont parmi les antibiotiques les plus souvent prescrits. Le Tandearil, le Butazolidin Alka, le Nembutal, le Seconal, le Placidyl, le Ser-A-Pes, l’Ismelin sont quelques-uns des médicaments les plus populaires. Fait étonnant : les religieuses préféraient garder l’Amenorone Forte, les diaphragmes et les stérilets sous clé, alors que le Percodan traînait sur les comptoirs. Presque tout ce qui est utilisé à la pharmacie est recyclé (même les tubes d’onguents ophtalmiques ou vaginaux dont on nettoyait l’embout!!!). Aussi, queues de cerises, noyaux de citrouille et du matériel comme les forceps, les sacs à urine et le lait maternisé sont conservés à la pharmacie.

Le déménagement de la pharmacie en 1971 dans les locaux plus vastes et mieux aménagés du nouvel édifice, l’Hôpital général de la région de l’Amiante, coïncide avec le départ de la religieuse responsable du service. Ce dernier événement marque la fin d’une époque au Service de pharmacie et l’amorce d’un virage fondamental. L’augmentation de la charge de travail qui s’ensuit force M. Dussault à faire un choix difficile : travailler à temps complet à l’Hôpital général de la région de l’Amiante ou quitter et laisser sa place à un autre, ce qu’il choisit, non sans déchirement. Par ailleurs, le transfert de la gestion des hôpitaux de la province des mains des communautés religieuses vers le gouvernement québécois marque la fin d’une époque, alors que les premières se retirent de la grande majorité des établissements de santé.

Embauche du premier pharmacien à l'Hôpital général de la région de l'Amiante

M. Georges Nadon, jeune pharmacien d’hôpital fraîchement diplômé de la Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal, est embauché en 1971 pour occuper le poste de chef du Service de pharmacie de l’Hôpital général de la région de l’Amiante, poste qu’il conserve jusqu’en 1979, au moment où il décide de joindre les forces armées. Les médicaments autorisés doivent maintenant faire partie d’un formulaire thérapeutique élaboré par le comité de pharmacologie sur lequel siège le nouveau chef du service de pharmacie. Les médicaments sont entreposés dans de beaux « space masters » et sont classés selon les critères de la liste des médicaments pour établissements approuvés par la Régie de l’assurance-maladie du Québec.

La charge de travail à la pharmacie s'accroît significativement. Sous la gouverne de M. Nadon, trois autres pharmaciens sont embauchés, dont deux à temps partiel. Le personnel de soutien passe également à six commis. La pharmacie est munie d’une hotte stérile qui sert à la préparation des additions aux solutés, « maintenant plastifiés », mais aussi à la préparation du fameux Pentothal pour le Bloc opératoire. Un monte-charge et un pneumatique allègent la tâche du personnel de la pharmacie et du personnel infirmier. Le recyclage des médicaments évolue aussi significativement : seuls les comprimés et les emballages intacts sont acceptés. Certains commis dits « seniors » deviennent des assistants techniques, titre honorifique qui leur est octroyé puisque le programme d’assistance technique en pharmacie n’existe pas encore à l’époque. Les premiers étudiants sont aussi embauchés dans les années 1970. Œuvrant sous la supervision du chef du personnel technique, ces derniers comblent principalement les postes de fin de semaine et remplacent le personnel pendant les périodes de vacances.

Peu à peu, les pharmaciens quittent les locaux de la pharmacie pour assurer une présence sur les unités de soins. Ils se permettent aussi de faire des substitutions pour des médicaments dits génériques, ce qui était parfois mal perçu par certains médecins qui précisaient sur leurs ordonnances de « donner le vrai médicament ». Chaque assistante technique est nommée responsable d’un département pour la gestion des médicaments au commun et la vérification des dates de péremption des médicaments. Une jeune vedette montante dans l’équipe des pharmaciens, Lise Henri, se fait un devoir de former les assistantes techniques « seniors » pour la préparation des additions aux solutés et la reconstitution du Pentothal, ce qui constitue, bien sûr, le premier pas vers d’autres délégations de tâches. Quel pas important pour les pharmaciens et quelle marque d’appréciation pour le personnel technique! On pourrait même faire l’analogie avec une phrase célèbre « Un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour l’humanité ».

Durant les années 1980, les machines à écrire utilisées pour la préparation des étiquettes d'ordonnances deviennent de plus en plus sophistiquées et performantes et vers la fin de la décennie, les premiers micro-ordinateurs – peu performants, mais quel avancement – font leur apparition au département de pharmacie. Ainsi se termine l’ère du « liquid paper » qui alourdissait inutilement le texte. Le système Manrex est implanté pour la préparation des médicaments en soins prolongés, le système d’achat en commun devient obligatoire et la récupération des médicaments non emballés unitairement est interdite. Ces changements causent beaucoup de maux de tête aux directeurs des finances et aux chefs du département de pharmacie puisque de nouveaux termes gagnent en popularité chez les gestionnaires d’établissements : compressions budgétaires, rationalisation, gestion de la performance, rapports SOFI, etc.

Les pharmaciens accentuent aussi leur participation à la formation continue du personnel technique et du personnel infirmier. Ils commencent à publier leurs premiers bulletins d’information à l’intention des médecins et du personnel infirmier. Leur expertise et leur importance au sein du centre hospitalier sont de plus en plus reconnus. La majorité des médecins leur soumettait des questions visant à faire les bons choix de médicaments et à prescrire les bonnes doses. Les pharmaciens identifiaient les interactions médicamenteuses, proposaient des ajustements de doses et des substitutions thérapeutiques « approuvées, pour la plupart, par le comité de pharmacologie ». Nous étions à l'aube de l'entrée des pharmaciens au Conseil des médecins et dentistes, qui allait devenir le Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP) au début des années 1980.

Le service de pharmacie devient un département

Un incontournable dans l’évolution de toute institution comme celle de l’Hôpital Saint-Joseph, de l’Hôpital général de la région de l’Amiante, et maintenant du CSSS de la région de Thetford, est la reconnaissance des compétences des pharmaciens d'établissements de santé et de leur rôle indispensable dans le réseau de la santé. Les changements apportés à la Loi sur les services de santé et les services sociaux et ses règlements au début des années 1980 permettent aux pharmaciens d’accéder au CMDP. En raison de leur dynamisme et de leur sens de l’organisation, les pharmaciens sont rapidement sollicités pour siéger aux comités les plus importants du nouveau CMDP. Ainsi, il n’est pas rare de les voir occuper des postes-clés comme ceux de président, vice-président ou secrétaire de divers comités tels le comité de pharmacologie et thérapeutique, le comité de prévention des infections, le comité des règlements, le comité d’éthique, le comité de recherche et, bientôt, du prestigieux comité exécutif du CMDP. Les pharmaciens sont maintenant reconnus à titre de cliniciens. Ils font partie des équipes multidisciplinaires de nombreuses cliniques ou spécialités : diabète, ostéoporose, oncologie, gériatrie, soins palliatifs, urgence, médecine et, bientôt, hémodialyse et psychiatrie. Ils participent à l’élaboration des plans de traitement, rencontrent les usagers, leur prodiguent des conseils et assurent le suivi auprès de ces derniers. La société, les institutions d’enseignement et les établissements de soins de santé n’avaient pas le choix de s'adapter à l'évolution scientifique, au vieillissement de la population, à la spécialisation des pratiques et à l'augmentation de la demande de soins, en reconnaissant le rôle accru du pharmacien. Afin de pouvoir suivre le rythme, les pharmaciens d’établissements n’ont d’autre choix que de déléguer officiellement une partie de leurs tâches à des membres importants de l’équipe. Confrontés à la même problématique, des pharmaciens de notre région, en collaboration avec des représentants du ministère de l’Éducation et de la Commission scolaire des Premières Seigneuries de Charlesbourg, discutent, au début des années 1990, de l’éventuelle création d’un programme d’enseignement menant à l’obtention d’un diplôme d’études professionnelles en assistance technique en pharmacie, comme principale solution au problème. Les pharmaciens de notre département participent à la formation du personnel technique par l’entremise de cours dispensés sur place, en soirée. Toutes nos assistantes techniques ont obtenu le diplôme d’études professionnelles qui devient obligatoire pour l’embauche du futur personnel technique au sein de notre organisation. En 2007, l’ère de la manipulation et du décompte des comprimés tire à sa fin avec l’arrivée d’un valeureux guerrier dans le département. Ce dernier se nomme « Omer ». On le décrit comme un fier robot emballeur. Bien qu’il soit adulé par les assistantes techniques et le personnel infirmier, pour qui il a contribué à diminuer la charge de travail et le nombre d’erreurs, ce fier étalon a dû laisser sa place à une princesse beaucoup plus indépendante et productive, on la nomma « Adèle » (dur coup pour la gent masculine).

Fil du temps

1968Embauche du premier pharmacien laïque, M. Pierre Dussault
1970Achat d’une hotte stérile pour la préparation de médicaments intraveineux. Elle servait surtout à l’addition de certains médicaments (potassium, calcium et vitamines) dans les solutés
1971Adoption d’un formulaire (liste de médicaments)
1978Accueil de stagiaires de l’Ordre des pharmaciens du Québec
1979Formation du comité de pharmacologie
1982Achat d’une hotte à filtration verticale pour la préparation stérile de médicaments d’oncologie et installation dans un local adjacent à la pharmacie
1985Implantation d’un Service de pharmacocinétique
1992Embauche d’un assistant technique en pharmacie avec diplôme d’études professionnelles. En collaboration avec la Commission scolaire des Premières Seigneuries de Charlesbourg, les pharmaciens du Centre hospitalier de la région de l’Amiante participent à l’organisation et la dispensation de cours pour leur personnel de soutien
1995Implantation d’un dossier pharmacologique informatisé
2002Transfert de la hotte d’oncologie dans des locaux avec pression d’air contrôlée
2002Implantation d’une feuille d’administration des médicaments (FADM) en soins aigus produite par la pharmacie
2003Inspection professionnelle de l’Ordre des pharmaciens du Québec
2007Implantation d’une ensacheuse de médicaments de type canisters
2007Implantation de la distribution unitaire quotidienne
2007Formation du comité de gestion des risques et de la qualité
2008Accueil de stagiaires du baccalauréat en pharmacie
2009Ouverture d’un service centralisé d’addition aux solutés. Au préalable, plusieurs préparations stériles y étaient quand même préparées sans aucun « batching »
18 juin 2009Réaménagement complet des locaux de la pharmacie principale pour répondre aux nouvelles normes de pratique et à une réorganisation du travail (automatisation du processus par une ensacheuse, implantation d’une centrale pour additifs intraveineux, etc.)

Le personnel du Département de pharmacie

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Le personnel du Département de pharmacie en 2009.
Rangée de gauche, de l'arrière vers l'avant :
Gilles Lessard, pharmacien; Catherine Bolduc, étudiante en pharmacie; Sindy Faucher, étudiante en médecine; Aline Lessard, assistante technique; Caroline Mathieu, assistante technique; Caroline Noël, pharmacienne et Line Bergeron, assistante technique.
Rangée de droite :
Nancy Beaudoin, pharmacienne; Johanne Pomerleau, magasinière; Suzanne Nadeau, assistante technique; Micheline Vigneault, chef du département; Denise Boisjoly, assistante technique.

Absentes : France Pomerleau, pharmacienne; Sylvie Croteau, pharmacienne; Mélissa Rodrigue, pharmacienne; Nicole Morin, pharmacienne; Caroline Byrns, pharmacienne; Isabelle Lachance, assistante technique; Patricia Jacques, assistante technique; Claudia Labrecque, assistante technique; Danielle Lamontagne, assistante technique.
Source : Archives de la bibliothèque du CSSS de la région de Thetford

Auteurs de la fiche historique

Cette fiche a été rédigée par Gilles Lessard, pharmacien, le 10 juillet 2009.

Avis au lecteur
Cette fiche historique a été rédigée par un représentant de l'établissement membre du Département de pharmacie. La version publiée de cette fiche historique a été revue et approuvée par son auteur avant la diffusion sur le site de l'A.P.E.S. À noter que le fil du temps est une liste non exhaustive des principaux événements ayant marqué l'histoire du Département de pharmacie.

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